Comment nous aider ?

Si vous souhaitez aller plus loin qu’une simple information sur le projet – en lisant régulièrement ce blog, par exemple – et ce afin de nous apporter votre aide, sachez que plusieurs modalités sont possibles ! Cela peut aller d’un tout petit investissement, en temps ou en moyens financiers, jusqu’à une participation très active aux activités et réflexions du collectif.

  • Signer la pétition en ligne (ou papier si vous nous croisez à l’occasion de manifestations)
  • Inciter d’autres personnes à signer la pétition, la partager sur vos réseaux sociaux
  • Contribuer, à la hauteur de vos moyens, à la souscription pour rendre possible nos recours juridiques, ceux-ci sont essentiels pour bloquer le projet (et finalement aboutir à son abandon)
  • Nous contacter pour nous proposer une intervention ponctuelle à l’occasion d’un événement que vous organisez, ou une idée d’action – dans laquelle vous pourriez aussi vous engager (contact par le formulaire sur ce blog, ou directement par mail)
  • Venir aux manifestations publiques que nous organisons
  • Nous proposer une aide technique dans vos domaines de compétence : projets agricoles (agronomie), économie, urbanisme, juridique, communication, media,etc. Ce peut être aussi des articles soumis à publication dans ce blog
  • Demander à être informés en amont des actions que nous préparons, afin de nous aider à leur organisation ou leur promotion (rédaction, impression et distribution de tracts, contacts dans les media, réalisation de panneaux, etc etc)
  • Demander à participer aux réunions internes du collectif, ce qui suppose une certaine régularité dans l’engagement (sans que ce soit une obligation absolue pour autant). Pas besoin pour cela d’être adhérent à l’une des quinze assos constituant le collectif, mais s’engager sur la charte du collectif, en termes d’adhésion aux valeurs que nous partageons au-delà de toute appartenance politique, et en respectant la neutralité « politicienne » de celui-ci. On ne demande à personne quels sont ses orientations politiques et encore moins ses engagements, mais on demande aussi de ne pas utiliser le collectif à d’autres fins (ce qui ne s’est jamais produit jusque là) car ce serait, à terme, l’éclatement de celui-ci. Actuellement nous sommes autour d’une dizaine, en moyenne, à venir à ces réunions internes, à peu près une fois par mois, souvent le mardi soir à la salle du Devézou à Montferrier.